 
    
    AIDE MÉMOIRE  
    La Terre s’éveille. Certaines consciences humaines s’ouvrent lentement ou rapidement,
    mais, actuellement, seuls quelques pourcentages de la population sont capables de considérer la vie et l’évolution de manière ouverte, ascensionnelle. Peu sont capables de se remettre
    profondément en question, de reconsidérer leurs croyances, leurs habitudes, peu sont capables d’effectuer un véritable travail de Développement Personnel spirituel. 
Mais ce n’est qu’un
    commencement. 
Je vous propose, ici, une réflexion sur les remises en question nécessaires que l’on doit éventuellement effectuer, pour atteindre un véritable éveil, un changement bénéfique de
    vibration, pour accélérer véritablement notre mouvement de transformation. 
Cela demande des prises de conscience, des réflexions sur soi-même, sur la Terre, sur autrui, et
    même sur les organisations des sociétés. 
Bien-sûr cette présentation n’est pas complète, cela demanderait un ouvrage beaucoup plus
    conséquent. Ce n’est qu’une présentation, un aide-mémoire, base de réflexions. 
Je vous propose d’effectuer ces réflexions à travers le regard d’une qualité qui tend à
    disparaître, à savoir le Respect. 
Ce que je vous suggère c’est d’effectuer une révolution, la plus profonde révolution que l’homme
    puisse effectuer, celle sur lui-même. 
N’oublions pas que c’est l’association des consciences individuelles qui va transformer cette
    civilisation planétaire et pas autrement. 
Voyez-vous, l’Univers veut nous voir évoluer dans la Paix, l’Harmonie, l’Amour, la Force,
    l’Equilibre, l’Intelligence, etc. qui amènent à la Joie, au Bonheur, à la Sagesse et au véritable Pouvoir, celui de devenir co-créateur universel dans un état de conscience d’adulte
    cosmique. 
Nous sommes des consciences humaines, c’est-à-dire des consciences individualisées, dotées d’un grand libre-arbitre, et constituées de divers états de conscience intégrés actuellement
    dans divers plans de la sphère planétaire Gaïa. Pour nous équilibrer dans ces divers plans, nous nous sommes dotés de divers véhicules-corps, supports de nos divers états de conscience, le plus
    dense étant notre corps matériel, intégré dans le plan matériel de Gaïa, plan appelé la Terre.  
    Mais qu’est-ce que le Respect ? 
Le Respect représente le sentiment
    qui porte à traiter l’environnement et autrui avec égard, avec amour, et sans lui porter atteinte. Pour l’être humain, le Respect mutuel est un des principaux garants de l’Équilibre et de la
    Paix. 
Beaucoup d’individus se comportent comme s’ils étaient seuls, sans tenir compte de la présence d’autrui dans leur environnement, restant attachés à leurs convoitises, leurs désirs
    égoïstes, tant vis-à-vis d’autres êtres, que de leur support planétaire. 
La notion de Respect s’applique donc aux éléments suivants : 
- Respect par rapport à soi-même,
    dans sa conscience cosmique, mentale, astrale, et conscience incarnée. 
- Respect par rapport à ses corps, notamment son corps matériel (hygiène,
    nourriture). 
- Respect par rapport à la Nature (règnes minéral, végétal, animal, écologie, etc.). 
- Respect par rapport aux autres consciences humaines qui sont comme chacun de nous, dans des
    phases d’évolution (croyances, habitudes de vie, etc.). 
A cela pourront se rajouter des notions telles que le respect des lois, des règles, des
    règlements, l’évolution consciente spirituelle, les qualités, les valeurs des progrès technologiques, l’accession aux sciences cosmiques, etc. D’une manière pratique, que
    devons-nous faire ?   
- Dans notre conscience cosmique :
    Il s’agit d’effectuer un véritable effort d’évolution afin d’augmenter la qualité, le
    potentiel de notre Grande Conscience. Cela veut dire qu’il s’agit d’effectuer un travail d’intégration des Lois Universelles d’évolution dans la totalité de notre conscience. Il s’agit là
    d’intégrer les qualités, et d’éliminer les défauts. Nous pouvons recenser 93 qualités 98 défauts. 
Afin que vous puissiez y travailler, je vous joins en annexe une liste des qualités à acquérir ou
    à développer et des défauts à éliminer. 
Il s’agit aussi de prendre conscience de la façon dont l’Univers a été créé, et comment il se développe, évolue, sur tous
    les plans, dans toutes les dimensions, et dans tous les règnes.   
- Dans notre conscience mentale :
Il s’agit d’acquérir la maitrise, le contrôle, la bonne gestion de l’analyse, de la synthèse, de la réflexion, de la logique, de l’organisation, de la pensée, de nos idées.
- Dans notre conscience astrale :
    Il s’agit d’acquérir la maitrise, le contrôle, la bonne gestion des sentiments,
    émotions, désirs, passions, amours, besoins, habitudes, etc. 
Ce que je suis va-t-il dans le sens de l’Amour Universel, du Bien, du Beau, du Bon
    ?
Mes façons de vivre vont-elles dans le sens de l’Équilibre, de
    l’Harmonie, de la Paix?
Amènent-elles la Joie, le Bonheur, la
    Sérénité ? 
Mes désirs sont-ils en harmonie avec les Lois Universelles et avec mon plan d’incarnation?   
- Dans notre conscience incarnée (appelée conscience de veille) :
    Il s’agit d’acquérir la maitrise, le contrôle, la bonne gestion de nos actions, de
    nos comportements, de nos réalisations, de nos créations. 
La particularité de l’incarnation est de pouvoir apprendre à modeler, organiser la matière
    (molécules, atomes, particules). Il s’agit de le faire intelligemment, sans créer de pollutions, de déséquilibres, en connaissant et en respectant les lois des équilibres énergétiques du règne
    minéral (voir tableau de Mendeleïev). 
Une autre particularité du plan incarné est de pouvoir rencontrer, être mis en relation,
    apprendre à connaître des consciences différentes de nous-mêmes. Il faut considérer que toutes ces consciences avec lesquelles nous sommes en contact ou qui font partie de notre société, donc qui
    influencent, sont des consciences qui peuvent ne pas avoir acquis notre propre degré d’évolution (ou qui l’on dépassé !), soit que leurs chemins d’évolution sont plus ou moins différents des
    nôtres. D’où différences de pensées, de comportements, qu’il faut accepter comme outils d’évolution, comme nous avons accepté lors de la préparation de notre incarnation, de nous retrouver ici et
    maintenant, avec un plan d’évolution à suivre. Rien n’est fait par hasard. 
N’oubliez pas que 70% des consciences incarnées actuellement sur la Terre ont une origine en
    dehors de Gaïa (planètes attachées à d’autres étoiles), d’où systèmes d’évolution différents. Gaïa, en tant que planète-école accepte des consciences à problèmes très
    diverses. 
Là
    se situe un gros travail par rapport à autrui : Amour, Compréhension, Compassion, Lâcher-prise, Recul, Acceptation, etc. Nous devons ici travailler sur nos actions, nos comportements qui doivent
    aller vers la Force, l’Amour, l’Harmonie, la Paix, etc. 
N’oubliez pas que la vibration cosmique de Gaïa représente la Paix. C’est pourquoi beaucoup de
    consciences viennent s’incarner sur cette planète car ils n’ont pas cet Attribut en eux. 
Avons-nous aussi le respect par rapport aux biens terrestres, à nos possessions, à
    l’argent (comment est-t-il gagné, dépensé ?) ?   
- Respect par rapport à nos corps, notamment le corps matériel :
    Sur les plans subtils, lorsque la conscience a besoin de s’intégrer dans un plan,
    elle se dote d’un véhicule-corps en concrétisant les énergies ambiantes (soit par elle-même, soit en étant aidée par des guides). En ce qui concerne le plan matériel, compte tenu de la densité du
    plan, nos véhicules-corps doivent êtres crées à travers de la matière (rencontre d’un spermatozoïde avec une ovule). Le corps ainsi créé est fait avec des éléments de Gaïa, il appartient à Gaïa.
    La conscience humaine s’intègre dans ce corps qui se développe avec les éléments de Gaïa. Il faut bien dissocier la conscience, qui évolue sur un certain nombre d’incarnations, du corps matériel
    qui vit jusqu’à quelques dizaines d’années, et dont les molécules retournent ensuite aux éléments de Gaïa lorsque ce corps meurt. 
Nous devons donc respecter ce corps
    qui nous est prêté par Gaïa pour un temps. Le respecter cela veut dire préserver son potentiel de santé, par une bonne hygiène, tant au niveau des habitudes de vie, que de la
    nourriture. 
Par hygiène nous entendons notamment le sommeil, les activités physiques, les ambiances psychiques (détente, sérénité, repos, etc.). 
Il ne s’agit pas de le détruire
    prématurément par manque de santé ou par certaines activités ou habitudes. Bien-sûr il faut tenir compte du potentiel santé d’origine qui dépend de la génétique et du
    karma. 
Au
    sujet de la nourriture, respecter son corps c’est le nourrir avec des aliments sains, frais, du type biologique autant que faire se peut, sans adjonction de chimie, ni d’additifs
    nocifs. 
Ne
    pas oublier de le nourrir dans un principe de consommation minimum ou nulle d’alcool, de tabac, ou d’autres drogues. Ces éléments opèrent des destructions plus ou moins graves sur les corps, y
    compris sur les corps subtils (les médecins ne savent pas tout encore), et qui affectent nos consciences. 
Il faut noter aussi une consommation minimale ou mieux une suppression totale d’animaux tués dans
    la nourriture. En effet, outre le principe de tuer le corps d’une conscience parallèle à l’homme, et qui fait souffrir la conscience de l’animal (conditions d’élevage, conditions d’abattage),
    outre ce manquement aux Lois Universelles, le fait de nourrir un corps vivant avec des cellules mortes inclue une vibration de mort dans le corps vivant (non-respect de la vie et de la
    santé). 
Et
    si vous pensez que la Nature s’équilibre ainsi, en tuant, et que vous pouvez en faire de même, sachez que dans le règne animal, leurs consciences ont besoin, elles aussi,
    d’évoluer. 
N’oublions pas la notion de vibration y compris dans la nourriture du corps matériel. 
Petit à petit un nombre grandissant d’êtres prennent conscience de tout cela. Certain le savent
    déjà et appliquent ces principes, mais trop de consciences sont encore fermées à ces notions. D’autre part, les intérêts financiers et habitudes de vie vous freinent. 
De même que la production généralisée
    de nourriture saine semble impossible à une majorité dans l’organisation actuelle des sociétés. 
Tout ceci est un gros chapitre qui ne sera pas développé ici. 
Dans ce domaine, on
    peut parler d’une véritable révolution à effectuer, en fonction des systèmes de société.   
- Respect par rapport à la Nature :
    L’être humain a pris l’habitude d’utiliser les ressources minérales et végétales de
    la Terre sans tenir compte des déséquilibres engendrés. Il est en train d’en prendre conscience et d’y remédier mais les efforts sont trop timides. Cependant des solutions partielles existent
    déjà technologiquement. 
La destruction d’une trop grande surface du règne végétal, notamment des forêts, déséquilibre le
    climat et modifie la composition de l’atmosphère. L’homme est en train de prendre conscience également de cela, mais ces constatations sont trop peu suivies de faits. 
De même, sur un plan écologique et
    gestion des déchets, la Terre est au bord de l’asphyxie. Là aussi on s’en rend compte mais les réactions sont trop timides. Des réactions importantes et rapides seraient de
    mise. 
    Un gros chapitre aussi est celui des nuisances des industries qui détruisent
    l’équilibre de la terre, de l’eau, de l’atmosphère. Certains paramètres ne sont plus rattrapables déjà. 
Mais aussi notre sol, celui qui nous sert pour nos cultures se meurt, il n’a pratiquement plus de
    vie pour l’apporter aux végétaux. Il a été tué à cause des apports délétères, et nous devons fournir de plus en plus de chimie pour compenser les manques de fertilité dans le
    sol. 
Cela est à revoir, et est en relation avec la culture biologique.  
- Respect par rapport aux autres consciences humaines :
    Le respect par rapport aux autres consciences humaines est lié au respect des lois,
    règles et règlements (à condition qu’ils soient justes). 
Là nous touchons au chapitre, peut-être le plus délicat. Pourquoi ? Parce qu’il est lié
    directement à l’évolution de chacune de nos consciences, et qu’il touche profondément à notre conscience astrale, la plus fragile développée sur la Terre. 
Nous savons que dans l’incarnation
    les êtres humains doivent, en fonction de leurs plans d’incarnation respectifs, entrer en relation avec d’autres êtres plus ou moins différents. Cela implique le plus souvent des relations
    karmiques ou un travail sur des difficultés d’évolution. 
La question doit-être : 
Qu’ai-je à comprendre à travers telle
    relation, tel événement ? 
Que dois-je changer en moi-même pour y remédier ? 
Ce n’est pas l’autre le responsable
    car la plupart du temps, l’être se met, en fonction de trames énergétiques subtiles, devant la personne ou l’événement pour qu’ils leur servent d’outils d’évolution. 
Ceci vous est très difficile à
    admettre, à comprendre. 
Une des lois principales de L’Evolution Universelle, est la Loi de Cause à effet (dite loi
    karmique, mais aussi la loi des nécessités). 
Les réactions doivent là s’appuyer sur les qualités acquises, intégrées. Et le but est, souvent,
    dans des relations conflictuelles, d’apprendre justement à intégrer ces valeurs dans notre conscience, au niveau du cœur et non au niveau de notre mental. 
Un problème important aussi est celui
    des croyances. Gros chapitre. On constate ici les pires comportements, tant individuels que collectifs. Cela touche à ce que l’on appelle les religions, les opinions politiques, les habitudes de
    vie. 
Ces
    croyances résistent au raisonnement, à l’analyse, à la logique (mental), elles prennent leur source sur les influences, les faiblesses, les peurs, les désirs, les besoins
    (astral). 
Mais elles peuvent être contrebalancées par l’intuition, la sensibilité, l’intelligence du cœur, la connaissance spirituelle. 
Qu’importe ce que chacun croie
    aujourd’hui s’il le fait dans la Paix et dans l’Amour. Les convictions sont souvent des outils pour sa propre évolution, et peuvent même varier d’une incarnation sur l’autre
    ! 
L’être
    humain doit passer des croyances aux vérités. Ces vérités sont à rechercher au niveau du cosmos. On ne peut comprendre la totalité d’un concept tant que l’on est à l’intérieur de la bulle de ce
    concept. Il faut en sortir, et pour cela atteindre un niveau cosmique. Comment peut-on connaître sa ville tant que l’on se trouve dans un appartement, et à la cave pour certains. Il faut monter
    dans un ballon pour regarder cette ville dans sa vérité, dans sa globalité, dans sa réalité. 
Croyez-vous que sur les planètes évoluées les habitants tuent les animaux, tuent le sol,
    détruisent la vitalité des cultures, détruisent l’équilibre de leur support planétaire, et se tuent eux-mêmes ? 
N’avez-vous pas envie de ressembler
    aux habitants de ces planètes ? 
N’avez-vous pas envie d’atteindre leurs états de conscience ?    
- Développement de la science et des techniques :
    En ce qui concerne les productions d’énergie, certes nous en avons besoin. Là aussi
    des consciences s’ouvrent. L’homme commence à découvrir de nouveaux moyens de productions d’énergie, moins polluants, moins destructeurs, d’autres types d’énergie sont encore à découvrir, à
    développer. Mais il s’agit de mettre ces découvertes en application, et de manière globale. Des solutions qui existent déjà sont encore freinées par les systèmes financiers et de
    pouvoir. 
Par contre, nous constatons que notre science fondamentale se développe et va doucement, à travers encore des erreurs, vers
    des concepts cosmiques plus proches des vérités. A poursuivre.    
Conclusion :
    A travers cette notion de Respect, nous améliorons notre état d’être, mais aussi à
    travers les autres attributs, car tout est lié. 
N’oublions pas que nous devons évoluer, pour nous-mêmes, par nous-mêmes. Chaque dépassement de
    soi-même aide instantanément autrui, ne serait-ce que par la vibration personnelle émise qui se diffuse alentour. 
Notre comportement spirituel doit
    être que nous recherchions à aider toute personne qui se trouve en dessous de notre vibration, et imiter toute personne qui se situe au-delà de la notre, et de collaborer avec tout le monde, à
    condition qu’autrui le veuille. 
Avant de porter un jugement sur autrui, savons-nous par quels chemins nous avons évolué dans nos
    vies antérieures, quelles ont été nos erreurs ? 
Sachons être en permanence au mieux de nous-mêmes, dans ce monde chaotique, en pleine mutation,
    et dans une grande illusion. Nous n’avons pas les éléments pour comprendre les situations, mais l’attitude spirituelle est de les accepter pour aider à les faire
    évoluer. 
Une
    phrase importante est : Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas que l’on fasse à vous-mêmes. Ne soyons pas ingrats par rapport à ceux qui nous ont tendu la main pour nous hisser,
    auparavant, et rendons la pareille aux autres. Nous sommes tous reliés (difficile à admettre, certes) comme les cellules d’un même organe, l’organe Gaïa. 
Voulons-nous bâtir un monde
    équilibré, basé sur des relations d’Amour et non plus sur des rapports de force ? 
Voulons-nous vivre et évoluer en harmonie avec les Lois Universelles, la Nature et autrui
    ? 
Voulons-nous vivre entouré, aimé, en bonne santé et hors du besoin ? 
Alors, commençons par nous aimer, nous-mêmes et autrui, en tant qu’étincelles
    divines. 
Comprenons les lois de la Vie Élargie et de l’Évolution. 
Relevons-nous, remettons-nous en question. 
Ayons le courage de reconsidérer nos
    croyances, admettons, comprenons, celles des autres (dans la condition, bien sûr, qu’elles ne traduisent pas de valeurs négatives comme la violence). 
Aidons autrui à se
    relever.
Respectons mieux la Nature et les autres
    règnes. 
Et
    entrons dans l’action, la responsabilisation, même individuellement. 
Ne sous estimez pas la force de l’exemple. 
Nous sommes particulièrement aidés en
    ce moment par certains afflux cosmiques, ainsi que par l’augmentation de la vibration de base de Gaïa. Profitons de ces accélérations pour passer de la non-conscience à la conscience, de l’ombre
    à la Lumière. 
Et si nos transformations nous demandent des douleurs d’adaptation, des souffrances pour l’ouverture de notre conscience, et les conséquences de nos remises en question, nous devons
    pouvoir aller jusqu’à aimer ces difficultés provisoires, passagères, transitoires, afin quelles disparaissent plus facilement, plus vite, afin de nous transformer nous-mêmes et par voie de
    conséquence, transformer la civilisation cette belle planète.  
    Un de nos guides a dit :
Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé. 
    Un autre a dit : 
Ni moi, ni toi, ni nul
    autre, n’a le pouvoir de prendre des consciences alourdies, et de les transformer. L’Amour, lui, le peut.   
Reiver – Janvier 2016
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ANNEXE
LES QUALITES A ACQUERIR OU A DEVELOPPER
Les 12 Attributs :
    Notre région galactique est baignée par 12 Rayons Directeurs porteurs d'énergies
    puissantes qui aident et soutiennent notre évolution. 
Nous pouvons les désigner par des mots dont les énergies s'apparentent à des qualités
    fondamentales, et que nous appelons Attributs pour les différencier des autres qualités. Je vais les rappeler en tant que valeurs à acquérir. 
Amour - Beauté - Connaissance -
    Équilibre - Foi - Force - Harmonie - Intelligence - Paix - Respect - Sagesse - Vérité.  
Les qualités :
    Ce sont des propriétés du comportement humain qui déterminent sa manière d'être, son
    état d'être dans le sens de la supériorité et de l'excellence. Elles déterminent les bonnes manières d'être morales, intellectuelles ou d'amour des individus. 
Les qualités représentent les
    possibilités que nous avons acquises de vivre en harmonie, en symbiose avec les Lois Universelles. 
Le nombre et le potentiel de qualités que nous possédons déterminent le degré d'ouverture de
    notre conscience sur l'échelle de l’Évolution. L'être réalisé a appris à mettre en pratique dans sa vie et à tous les niveaux l'ensemble des qualités les plus
    importantes. 
Je rappelle que ces dénominations doivent être prises dans leur juste milieu, car en excès, elles pourraient devenir des défauts.  
    En voici donc la liste :   
Abnégation - Acceptation - Activité - Amabilité - Amitié - Analyse - Assiduité - Assurance -
    Attention - Authenticité - Bienveillance - Bonté - Bravoure - Calme - Charité - Communication - Compassion - Compréhension - Confiance - Considération - Constance - Courage - Courtoisie -
    Créativité - Curiosité - Dévouement - Dignité - Discipline - Discrétion - Don - Douceur - Droiture - Écoute - Efficacité - Égalité - Enthousiasme - Équité - Espoir - Fidélité - Franchise -
    Fraternité - Gaîté - Générosité - Gentillesse - Honnêteté - Humilité - Inspiration - Intuition - Joie - Justice – Lâcher prise - Liberté - Loyauté - Lucidité - Modération - Modestie - Optimisme -
    Ordre - Organisation - Pardon - Partage - Patience - Persévérance - Pondération - Pouvoir - Prévenance - Prudence - Pureté - Reconnaissance - Responsabilité - Sensibilité - Sérénité – Simplicité
    - Sincérité - Souplesse - Stabilité - Tempérance - Ténacité - Tendresse - Tolérance - Volonté.  
    LES DÉFAUTS A ÉLIMINER
    La liste des défauts est longue, mais ils se recoupent souvent. Nous remarquerons que
    pour définir un défaut, on se sert d'autres défauts plus ou moins modulés et mélangés. 
L'hypocrisie est cousine de la mauvaise foi, la bassesse de la veulerie, la perversité de la
    cruauté, l'indifférence de l'égoïsme, etc. 
Voici donc une liste qui n’est peut-être pas exhaustive. 
A chacun de faire son bilan et de se
    mettre au travail : 
L'égoïsme, la cruauté, la lâcheté, la mauvaise fois, la suffisance, le fanatisme, la veulerie, l'indifférence, la vénalité, l'hypocrisie, la malhonnêteté, la trahison, la soif de pouvoir, le paraître, la perversité, la médisance, la bassesse, l'abus, l'autosatisfaction, l'avilissement, la barbarie, la complaisance, le dénigrement, la destruction, l'esclavage, l'exclusion, l'exploitation, la faiblesse, la fierté, la fourberie, la haine, l'injustice, l'insensibilité, l'intérêt, l'intolérance, la manipulation, la méchanceté, la menace, le mensonge, le mépris, la mesquinerie, le mutisme, la mollesse, l'orgueil, la paresse, la présomption, la prétention, la peur, le racisme, le sadisme, le sarcasme, le sexisme, la tricherie, la vanité, le viol, la violence, l'admiration (excessive), l'animosité, l'autoritarisme, l'avarice, l'aversion, l'avidité, la calomnie, la colère, la convoitise, la corruption, la critique, la cupidité, la curiosité, la dévalorisation, la domination, le doute, l'égocentrisme, l'émotivité, l'entêtement, l'envie, l'extravagance, la fausseté, la fierté, l'ignorance, l'impatience, l'ingratitude, l'intransigeance, la jalousie, la limitation, la négativité, la perversion, le pessimisme, la possessivité, la rancœur, le scepticisme, la sensiblerie, la sournoiserie, la tiédeur, la timidité, la traîtrise, la tristesse, la vantardise.
Serge Reiver Nazare – Janvier 2016
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